“Les lieux ont perdu cette dimension d’étrangeté et de mystère. Il faudrait revendiquer l’espace inutile, gratuit, comme il faut revendiquer le temps perdu. Car l’espace inutile, au fond, est le lieu le plus utile, c’est le lieu du désir et de la narration.”
François Schuiten – Les Cités Obscures
A l’heure de l’Anthropocène, la Ville-Monde tente de se repositionner vers la Ville du quart d’heure : Plus que jamais, l’espace public y devient le réceptacle de tous les désirs de « métropoles villageoises », pacifiées, renaturées, équipées, mais aussi support de convivialités perdues.
Les paysagistes-urbanistes d’Ilex investiguent et intensifient la résille de ces communs urbains non bâtis : parcs, jardins, rues, avenues, places … En les fertilisant, en y révélant leur potentiel, en les dotant d’un nouveau récit, ils proposent des lieux d’échanges, de biodiversité et de services qui font éco-systèmes.
Fortement engagée dans la résilience climatique des villes, l’agence Ilex y met en place les conditions d’une nature à la fois immersive et performante, support de biodiversité mais aussi d’une nouvelle poésie.
Transcendant la ville fonctionnelle, c’est à partir de ce réseau à la fois vivant et sensitif que l’agence accompagne les nouvelles tendances d’usages, crée des nouveaux lieux à vivre, et propose des nouvelles figures d’urbanité.